Test de Degrees of Separation

Un petit jeu de plateforme à la DA particulièrement travaillée.

Pour résumer...

Mon avis
Note

Autres avis sur le net (au moment du test)

68%
Metacritic
69%
Steam

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Note : Ceci est un micro test, son contenu est plus light que les tests habituels.


Durée de vie moyenne : ~ 4/5 heures

J’ai profité d’une grosse promo sur le store Nintendo couplée à l’utilisation de mes points Nintendo pour me prendre il y a quelques temps Degrees of Separation, un « petit » jeu ayant une forte inspiration « Trinienne » tant par ses mécaniques que par sa direction artistique.

Dans ce dernier on incarne « simultanément » Ember et Rime dans un monde onirique où leurs destins semblent être liés. Ember incarne la chaleur tandis que Rime contrôle le froid.
La particularité du titre étant donc de jongler avec les 2 personnages qui agissent chacun d’une manière différente sur le monde. Là ou Ember pourra entre autre faire fondre la glace, aller dans l’eau ou se faire projeter par des geysers, Rime pourra quant à lui glacer les étendues d’eau pour glisser dessus tel un patineur artistique ou bien encore concevoir des boules de neige… Les différentes interactions sont multiples et dépendent à la fois de votre placement (ce qui ajuste la ligne de séparation qui existe entre les deux protagonistes) mais aussi du niveau traversé. Chaque niveau dispose d’une petite variante de gameplay, que ce soit la possibilité d’utiliser la ligne de séparation pour se déplacer dessus ou bien encore le fait d’être projeté en cas de contact des 2 personnages, entre autre !

Il est possible de faire suivre automatiquement le personnage non joué ou, au contraire, d’accéder à des endroits différents avec l’un et l’autre et ce afin de résoudre les énigmes.
Le jeu est d’ailleurs jouable à deux, chacun contrôle ainsi l’un des personnages à la manière d’un Trine.

Dans chaque niveau il faut récupérer un certain nombre d’écharpes noires et blanches, cela permet ainsi d’ouvrir de nouveaux accès dans le château qui sert à la fois de niveau à part entière mais aussi et surtout de hub pour accéder aux autres.

Derrière une direction artistique de toute beauté, alliant en permanence deux affichages du décor, l’un chatoyant et l’autre glacial, Degrees of Separation conte une jolie histoire sublimée par une excellente bande originale.

Malheureusement, et c’est le principal défaut qui m’a poussé à stopper le titre (rare que je ne termine pas un jeu), il souffre d’une certaine répétitivité et les variantes de gameplay à chaque niveau, bien que permettant un certain renouvellement, n’ont pas suffit à me faire tenir jusqu’au bout. Peut-être est-ce du à la taille des niveaux, plus longs que ceux d’un Trine par exemple et le manque de diversité des décors. Malgré sa faible durée de vie il a réussi à me faire décrocher :/

Quoi qu’il en soit le jeu est agréable et ravira les adeptes de jeux de plateforme jonchés de puzzles.


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RpGmAx
Joueur trentenaire passionné depuis mon plus jeune âge, bercé à la Game Gear, aux jeux MS-DOS & ancien joueur "assidu" de MMORPG... Je me consacre désormais davantage à des jeux solos, plus adaptés à mon statut de jeune papa 🙂

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